J'ai fini le kit de Perrette Samouïloff  "Jeux de souris", sur toile de lin 12 fils/cm et avec mouliné DMC. Je ne sais pas encore si je l'encadre et où je vais le mettre.

Ce sont des fourmis esclavagistes !

En effet, elles effectuent des raids dans les autres fourmilières pour voler les oeufs ou les larves qu'elles élèvent comme si c'était leurs enfants. Mais les fourmis esclaves (grandes, petites, noires ou rousses) effectuent toutes les tâches ménagères alors que les grandes fourmis rouges sont des guerrières.

En l'espace de deux heures, je les ai vu piller quatre nids à plusieurs dizaines de mètres de leur propre fourmilière. 

La nature est cruelle !

Et que tiennent-elle dans leurs mandibules ?

Vous remarquerez que ce sont des fourmis rousses. Elles sont grandes ( 1,5cm).
Je suis désolée les photos ne sont pas très nettes : je n'ai pas l'appareil de Chriscraft ...

Quelques images de petits cadeaux de Noël , en toile Aïda et fils DMC, les modèles ont été pris dans le petit fascicule "Horoscopes" édité par Dersa  et  kit zodiaque chinois des "Créations Carole Pasquier":

et pour l'anniversaire de Blandine, en toile de lin, fils DMC

Dans le Vercors, tout le monde connaît  les Goulets (grands et petits). Mais on ne peut pas les faire car un tunnel s'est écroulé. Peyt-être cet été ce sera ouvert.

Il y a une autre route pour monter sur le plateau, celle de Combe Laval, accrochée à la falaise.

    L'arrivé au col de la Machine. 

Mais qu'y-a-t-il dans ce trou ?  Enfonçons une petite brindille.

 Qui vient me déranger quand je compose un morceau  de musique ? 
 Je suis furieux et j'essaie de mordre l'intrus. Beurk, un simple bout de bois !

  Un petit tour dans l'herbe
et je retourne dans mon trou.

Là, je montre mon derrière car en frottant mes pattes sur mes ailes, je fais de la musique pour attirer une femelle et pourquoi pas plusieurs !

Pour nous c'est de la musique mais pour les hommes cela ressemble à du Morse !

Eh, oui ! Je suis le Grillon des champs qui vous enchante les soirs d'été.

Une idée de Flo qui a entraîné d'autres croixpinettes , dans ce SAL :

Aujourd'hui, je pars en vacances. Pendant quinze jours, je vais me reposer, je serai au calme. En effet, la maison est isolée : pas de radio ni de télé ; un téléphone mais pas de liaison ADSL (et quand on en a pris l'habitude, ça manque mais on va se désintoxiquer un peu).

Le soleil se lève de ce côté, dans le creux en été.

On n'entend que les oiseaux et les insectes (cigales, sauterelles vertes, grillons et criquets).
Je vous laisse la clé sous le paillasson pour que vous vous promeniez sur mon blog tout à votre aise. Ne m'en veuillez pas si je ne vais pas vous voir ... A bientôt !

Dans le Diois,  le cirque d'Archiane, en bordure du Glandasse,  est impressionnant. La ballade est superbe !

Et de l'autre côté le col d'Essaure, le Grand Veymont et le mont Aiguille.

C'est un musée situé en plein air et complétement gratuit ! Tony Garnier était un architecte lyonnais qui a conçu en 1920, dans le quartier des Etats Unis, dans le 8ème, un ensemble d'immeubles : "la Cité des Anciens Etats Unis", cité HBM (Habitations bon marché). Attaché à l'aspect fonctionnel de l'habitat, il estimait que la beauté devait aussi exister dans les immeubles urbains.

Ce musée est composé de 25 murs peints (5600 m²): murs sud et nord de 12 immeubles et le mur de présentation. C'est à la demande des habitants de ce quartier que la Cité de la Création a conçu ces fresques depuis 1988.

Les trois premiers murs sont des murs de présentation.

Les murs 4 à 14 décrivent "une Cité Industrielle", le rêve de Tony Garnier. Les murs 15 à 18 présentent 4 de ses réalisations à Lyon : le stade de Gerland, l'Hôpital de Grange-Blanche (actuellement Edouard Herriot), les abattoirs de la Mouche (actuellement la salle de spectacle Halle Tony Garnier) et le quartier des Etats Unis dans sa version initiale. Ce sont surtout des esquisses et dessins d'architecte.

Les murs 19 à 25 ne sont pas photographiés. Je vous les montrerai une autre fois : ils représentent les cités vues par des artistes étrangers.

Et voici un détail : la photo de classe  de l'année 1934 fournie par une habitante du quartier. Grace aux fresques, ce quartier populaire a trouvé une cohésion et le respect mutuel : ainsi, il est relativement propre et les murs ne sont pas tagués.